Chaque année dans l'UE, y compris en Belgique, des animaux sont délibérément brûlés avec des liquides chauds pour étudier les brûlures et les éventuels traitements pour les humains. Pourtant, notre mode de guérison diffère de celui des animaux, ce qui rend les résultats obtenus avec des études sur l'animal difficilement transposables à l'homme. Pour ces raisons scientifiques, mais aussi éthiques, la recherche s’est tournée vers le développement de méthodes non-animales, telles que des modèles de peau humaine dont l'utilisation reproduit fidèlement la situation humaine.